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Couverts "Grand Prix" en acier mat. Edition neuve
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Kay Bojesen
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Kay Bojesen
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Couverts "Grand Prix" en acier mat. Edition neuve *Étape requise
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Conçue en 1938 par Kay Bojesen, la ligne Grand Prix reçoit en 1951 le grand prix du design au salon de Milan. D’où son nom. Cette ligne, d’une modernité étonnante, est une référence des arts décoratifs et un exemple de fonctionnalisme appliqué aux arts de la table.
En 1952 Kay Bojesen devient fournisseur officiel de sa majesté le roi du Danemark et fournit aujourd’hui encore la Reine. Les couverts Grands Prix sont devenus la ligne "nationale", présente dans toutes les ambassades danoises à travers le monde.
Les couverts Grand Prix de Kay Bojesen n’ont plus été produits après sa mort en 1958. Depuis 2013, sa petite fille Susanne Bojesen Rosenqvist les réédite.
Les couverts « Grand Prix » de Kay Bojesen sont aussi disponibles en argent massif (sur demande uniquement).
La collection complète comprend plus de 27 éléments. Pour composer votre ménagère sur mesure, n’hésitez pas à nous contacter.
| Année | 1938-2013 |
| Matière | Acier mat |
| Style | Classique Neuf |
| Origine | Danemark |
| Fournisseur | Kay Bojesen |
Kay Bojesen
Danemark
1886 - 1958
Kay Bojesen voulait que ses objets soient de véritables êtres vivants, faits de chair et de sang, de sorte que les gens ne puissent faire autrement que de les serrer dans leurs bras et de ressentir leur chaleur et leur humanité.
Les célèbres singes de Kay Bojesen ont été fabriqués conformément à sa devise : « sourire, toujours sourire ».
Au début des années 1950, Bojesen a connu un immense succès, tant au Danemark qu’à l’étranger. Ses créations ont été exposées au Victoria & Albert Museum de Londres.
Kay Bojesen s’est formé à l’orfèvrerie auprès de Georg Jensen, à partir de 1910, et après quelques années passées en Allemagne puis en France, il s’est installé à Copenhague. Ses premières créations en orfèvrerie - un service pour enfant en argent - est tout de suite récompensé par un grand prix.
Dans les années 30, il réalise que le bois lui offre encore plus de possibilité de mettre de la vie dans ses objets.
Il abandonne alors les métaux et se consacre à la création d’animaux en bois, et bientôt, c’est tout un jardin zoologique qui naît de ses mains. Il est aujourd’hui considéré comme un des grands pionniers de l’artisanat danois.
Depuis 1990, Rosendahl réedite une partie de ses créations.