Bibliothèque murale Cache-cache blanche

3 158,00 € TTC
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De l’intime au partage, le rêve d’une harmonie

Avec cet objet, je voulais bien sûr évoquer l’enfance, ses jeux, son imaginaire et ses mystères. Je voulais aussi parler de rencontres et de diversité. Il y a ce que l’on partage naturellement et ce que l’on ne voit pas toujours immédiatement, cette partie de cache-cache qui s’engage avec les autres et avec nous-mêmes. 

Jérôme Marroc-Latour

Par sa structure immuable, la bibliothèque « Cache-cache » parle de ce qui nous rassemble, d’une histoire commune. La diversité des panneaux, des objets abrités, raconte la singularité de nos chemins et rencontres. Un jeu intemporel, certes ancré dans l’enfance, mais que chacun de nous reproduit plus ou moins consciemment avec ses désirs, ses rêves, sa mémoire. Fictions, réalité, « je », « nous » … L’objet installe un dialogue instantané et ludique avec celle ou celui qui se l’approprie.

La bibliothèque Cache-cache est aussi disponible en polychromie, peinte à la main par le créateur. Édition limitée à 10 exemplaires signés.

Structure : Chêne massif, composée de 15 casiers identiques. Chaque casier est agrémenté de deux panneaux coulissants en medium peint. Les panneaux sont amovibles et se déplacent facilement. Vernis de protection mat. Pas de fond. Se pose directement au mur.

Dimensions H 113 cm, L 113 cm, P 15,7 cm. Dimensions intérieures d’une case : H 20 cm, L 35 cm, P 14,5 cm. (hors rainure)
Style Contemporain
Neuf
Origine France
Fournisseur jl Studio
Structure Chêne massif, composée de 15 casiers identiques. Chaque casier est agrémenté de deux panneaux coulissants en medium peint.

Jérôme Marroc-Latour

 

Jérôme Marroc-Latour est né à Marseille d’un père aconier et d’une mère au foyer. Ses premières émotions esthétiques seront pour les grues, les portiques géants, les chantiers et les navires du port autonome de la ville. Il faudra attendre quelques séjours à New York et Tokyo pour affirmer une attirance pour les grands ensembles urbains et leur diversité. Depuis son adolescence, il peint avec l’encouragement de son grand-oncle paternel. Cézanne, Matisse, Gauguin sont quelques-uns de ses peintres de chevet. Suivent rapidement les sculptures primitives africaines, celles de Brancusi ou, plus récemment, d’Oscar Tuazon. Les œuvres de Charlotte Perriand, son regard « en éventail » sur la nature l’ouvrent au design moderne. Le Bauhaus, les créations d’Anni et Josef Albers, l’architecture de Le Corbusier, Oscar Niemeyer ou celle, plus démocratisée, de Fernand Pouillon… Autant d’artistes phares guident les premiers pas d’un créateur autodidacte et instinctif, trouvant son chemin entre une certaine radicalité et une recherche d’harmonie.